La tendance reste à la morosité dans le commerce et l’artisanat, avec des commandes qui patinent et des clients très bien informés, qui agissent pratiquement comme des acheteurs professionnels.
«Il ne suffit pas d’avoir un site Internet, d’envoyer des emails aux clients ou d’intégrer son commerce sur une carte, comme Google Map, ou dans la réalité virtuelle pour réussir. Il faut que l’ensemble soit en grande cohérence avec les attentes des consommateurs, le type de commerce et la configuration locale du terrain».